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But de ce lexique

Pour que mon message soit plus compréhensible, je placerais ici les mots dont j'estimerai l'explication utile suite aux observations que vous m'aurez remontées par ce . Ainsi nous pourrons, comme les lecteurs suivants, avancer grâce à notre collaboration active.
Merci.

Terme

Définitions "officielles"

Mes définitions

École

Je préfère ne rien écrire ici !
J'ai honte pour Larousse !
Et pourtant ...

Ce mot représente pour moi l'ensemble des partisans de telle ou telle philosophie, et non " établissement d'enseignement".
Pour ma part j'espère, par mon site, "faire école" !!!

Éthique

-1-[Larousse 1981] n. f. Philos. => Doctrine du bonheur des hommes et des moyens d’accès à cette fin.
-2-[Larousse 1981] adj. Qui concerne les principes de la morale (grec éthikos=moral de éthos= mœurs).
Par éthique, il faut entendre, ici, sur mon site, le moteur de nos actes et de notre représentation aux autres. Le regard des autres, comme notre for intérieur, notre "façon de nous comporter" comme cette éthique nous permet de trouver le chemin, le moyen de "savoir ce que nous voulons". Notre éthique de vie est notre ambassadrice, notre représentante.,Une éthique ne peut pas être imposée, ni même être fondée de façon objective. Car ce serait nier la liberté de choix. Les concepts de preuve, de vérité, de vraisemblance et de probabilité ne sont pas de nature à fonder une éthique. Ils devraient être limités aux domaines techniques. Peut-on considérer la « recherche du bien » comme objectif d'une éthique ? Chacun est appelé à déterminer la sienne en fonction de ce qu'il vit, en fonction de son vécu de conscience, ce vécu qu’il est le seul à bien connaître. Chacun peut être invité à proposer une formulation d’éthique dans un groupe de personnes qui sont supposées agir dans le même sens sur un type d’action donné. Une éthique peut être plus désirable et réaliste par sa cohérence et sa compatibilité avec certains penchants humains. La « recherche du bien » définit comme l'objectif d'une éthique dirait que l'on recherche alors le bien pour soi, dans son état de conscience actuel. Nos actes resteront orientés vers ce que nous allons considérer comme étant le bien pour soi dans le respect des autres. Concevoir une éthique de ce type nous entraînera à déterminer si nos actes restent bien dans le cadre de la dite éthique, Nombreux seraient ceux qui ne savent pas vraiment ce qu'ils veulent ? Ou bien ne sont-ils pas, plutôt, peu sûr de leur choix d‘éthique, vis à vis de leur conscience. Attention, pas de mélange et surtout pas de jugement. (cela n’est pas dans mon éthique). Il nous arrive fort heureusement aussi de douter : c’est ce qui fait la richesse de notre éthique, la permanente évolution. Il y a deux raisons possibles pour ne pas savoir comment se comporter dans une situation donnée, soit, nous savons dans quel sens nous désirons faire évoluer les choses mais nous hésitons quant à la meilleure façon de procéder, soit nous savons dans quel sens faire évoluer les choses mais nous hésitons puisque la meilleure façon de procéder ne nous semble pas entrer dans notre manière de vivre. La première hésitation est d’ordre technique, la seconde d’ordre éthique. Puisque, par cette éthique ainsi définie, il est possible de rassembler un grand nombre de personnes, il se créera bientôt un « égrégore », une « école de pensée », et une « école d’actions » qui reliera les gens de même éthique, pour le plus grand bien de tous.

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Doctrine

[Larousse 1981] n. f. Ensemble des opinions, des croyances, des idées d’une école(voir en tête de lexique) littéraire, religieuse ou philosophique, d’un système politique, économique, etc., d’une religion. J'ai mis un certain temps pour écrire ici ma perception du mot "doctrine" et ce que j'y entends.

Derrière, pas très loin, il y a abrutissemment, car l'endoctrinement est une force appliquée pour empêcher l'Autre de réfléchir. C'est ce qui fait, par exemple que dans un parti politique très en vogue actuellement, il n'est PAS AUTORISÉ à ses adhérents d'avoir des idées qui ne sont pas celle du parti ! NON, je ne parle pas du tout du Parti Communiste Français où chacun peut s'exprimer. Quite à se faire virer, mais chacun peut dire ce qu'il veut. Dans l'autre qui se prétend de gauche il n'y a même pas ce droit à l'expression ! "Tu suis et TU LA FERMES ! Compris ?"

Ça c'est de la doctrine !

Vous avez pigé ?

C'est TRÈS DANGEREUX !! C'est mortel, même ! Surtout pour la démocratie !
Surtout quand cette doctrine est appliquée à ceux qui ne sont pas dans ce parti !!!

SOYONS VIGILANTS !

Danger, propagande !

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Église(s)

1-[Larousse 1981] n.f. Société religieuse fondée par Jésus Christ.
2-[Larousse 1981] Communauté organisée de personnes professant la même doctrine.
3-[ wikipedia.org ] Une église est un édifice religieux dont le rôle principal est de faciliter le rassemblement d'une communauté chrétienne.
4-Ce mot est utilisé par moi et bien d'autres personnes pour désigner toute organisatioon de personnes dans laquelle les chefs ont raison et où les pratiquants ou adhérents ou associés doivent obéir et ne plus JAMAIS réfléchir.

J'inclus donc dans ce mot les partis politiques, les syndicats, les "ONG", les associations de malfaiteurs (oui, les banques ! ), mais aussi certaines cliques et bien sûr les institutions de tout acabit, vous avez compris. !

L'Église est-elle une institution comme les autres ?


Bien sûr que oui ! Mais leur site est hors d'usage la plupart du temps !
Comme quoi l'imprégnation chrétienne est forte ! Car il y a des églises sans le christianisme.
Et en plus il y a chrétien, christique et catholique : trois versions qui ne s'aiment pas beaucoup !

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Morale

-1- [Larousse 1981] n. f. Ensemble des règles d’actions et de valeurs qui fonctionnent comme norme dans une société.
-2- [Larousse 1981] adj. Qui concerne les règles de conduite en usage dans une société.
la définition officielle me convient bien ! Et à vous ?

J'ajouterais aujourd'hui que ces valeurs et ces règles sont évolutives en fonction des évolutions (voulues ou forcées) de la dite société ! Donc la morale est donc à géométrie variable selon les époques !

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Harmonie - 1

[Larousse 1981] n.f. Ensemble ou suite de sons agréables à l’oreille Par harmonie, je dirais ici ce que, pour moi, représente l’harmonie. Si elle est municipale, elle peut nous faire entendre des œuvres musicales de qualité ! Plaisanterie trèe fine à part, qu’est donc la recherche de l’harmonie ? Qu’est donc l’harmonie ? Et bien nous allons utiliser des termes musicaux !

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Harmonie - 2

[Larousse 1981] n.f. Accord des sentiments, entente, union : vivre en harmonie. « Accord des sentiments, entente, mise en harmonie, en accord » dit Larousse, en réalisant d’elle-même la boucle. Pour atteindre l’accord, il faut y travailler, il faut s’y mettre. Cela demande du travail, un engagement de chacun, un engagement pour tous.

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Harmoniser

[Larousse 1981] v.t. Mettre en harmonie, en accord : harmoniser des intérêts opposés. Notons qu’il s’agit d’une intention, pas d’une exigence de perfection, même s’il faut espérer une harmonie totale. Il s’agit de se mettre d’accord sur le sens dans lequel prendre les décisions, de contribuer à la diminution de la souffrance. Un catalogue de réglementations et de directives ne favorise pas une mise en application, et surtout ne respecte pas la liberté intérieure.

La liberté de chacun est intimement liée au respect de tous pour l’intérêt commun de « faire » ou de « ne pas faire ». Je suis d’autant plus en harmonie avec moi-même, et donc, avec les autres, si je me comporte de façon réfléchie et cohérente avec l’éthique librement choisie.

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Précepte

[Larousse 1981] n. m. Règle, enseignement dans un domaine particulier : les préceptes de la morale, les préceptes musulmans, les préceptes catholiques, … Par contre, il pourra y avoir des conseils, des préceptes qui ne devront pas être colportés par des prêches, mais par des explications et par l’exemple.

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Prêche

[Larousse 1981] n. m. Sermon | Discours moralisateur et ennuyeux Ce terme est assez peu aimé de nos jours, comme le suivant. Parce que les églises et en France surtout l'église catholique, ont eu des attitudes plus qu'équivoques en utilisant et en s'appropriant ce terme. Il n'y avait pas, à l'origine du mot, de notion religieuse dans un prêche !

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Prêcher

[Larousse 1981] v.t. Annoncer publiquement la parole de Dieu. | Recommander par des exhortations pressantes et réitérées

C'est faire tout son possible pour que sa propre vérité devienne celle du plus grand nombre engardant l'idée du respect et du libre arbitre de chacun. Mais celui qui croit en ce qu'il fait est un prêcheur bur de lui.

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Respect

[Larousse 1981] n.m. Sentiment qui porte à traiter quelqu’un ou quelque chose avec de grands égards, à ne pas porter atteinte à quelqu’un ou quelque chose.

Tout le respect que je vous dois est égal à celui que vous me devez : ne pas porter atteinte à quelqu’un ou quelque chose. (Aller voir ici)

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Égard

[Larousse 1981] n.m. considération, marque d’estime [ vient de esgarder = veiller sur] Avoir des égards c'est une forme de respect lié à une autre notion qui peut être l'âge, ou la position sociale. Ce n'est tout de même pas que du respect sous contrainte, car c'est aussi une forme de reconnaissance.

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Paradigme

1-[Larousse 1981] n.m. Ensemble de flexions d'un terme donné comme modèle.
2-Ensemble des termes d'une même classe de mots qui peuvent être substitués l'un à l'autre dans un contexte déterminé.
3-Ce mot est utilisé en grammaire pour désigner le mot type donné comme modèle d'une déclinaison, d'une conjugaison (1752) et pour l'ensemble des formes que pouvait prendre l(un de ces mots type.

PARADIGME selon wikipÉdia !

Pour moi c'est trop de texte à taper ! donc je vous redirige sur wikipÉdia ! MDR !

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Réfléchir

1-[Larousse ] - Renvoyer dans le milieu dont elles proviennent des ondes, des particules ou des vibrations : Les miroirs réfléchissent les rayons lumineux.



Mais aussi !!!

2-[Larousse ] - Concentrer son attention sur une idée, une question.

Pour moi ce n'est pas agir en miroir, mais se remémorer les résultats des choix précédents pour garder ceux qu'il nous semble judicieux de remettre en route puisqu'alors les choix avaient été bénéfiques sur le chemin que l'on s'est fixé.
C'est en fait ce qui différencie l'homme du robot !



Notre route !

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Laïcité

-[Larousse] Conception et organisation de la société fondée sur la séparation de l'Église et de l'État et qui exclut les Églises de l'exercice de tout pouvoir politique ou administratif, et, en particulier, de l'organisation de l'enseignement. (Le principe de la laïcité de l'État est posé par l'article 1er de la Constitution française de 1958.)
Caractère de ce qui est laïque, indépendant des conceptions religieuses ou partisanes : La laïcité de l'enseignement. 2-[Gouvernement] La laïcité garantit aux croyants et aux non-croyants le même droit à la liberté d'expression de leurs croyances ou convictions.
Cette définition suivante me convient :
«La laïcité repose sur trois principes : la liberté de conscience et celle de manifester ses convictions dans les limites du respect de l'ordre public, la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, et l'égalité de tous devant la loi quelles que soient leurs croyances ou leurs convictions.
Elle garantit le libre exercice des cultes et la liberté de religion, mais aussi la liberté vis-à-vis de la religion : personne ne peut être contraint par le droit au respect de dogmes ou prescriptions religieuses.
La laïcité n'est pas une opinion parmi d'autres mais la liberté d'en avoir une. Elle n'est pas une conviction mais le principe qui les brise toutes, sous réserve du respect de l’ordre public. »Source :
Par contre une énorme entorse a déjà été réalisée dans cette notion, par la loi du 15 mars 2004 sur la laïcité qui a tenté d'adapter la précédente loi au contexte actuel, et sous les pressions surtout musulmanes ou des activistes de même obédience.
Elle stipule que « dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port des signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ». Cependant, il reste difficile de déterminer si le foulard constitue un signe ostentatoire en soi. La situation doit être appréciée dans le dialogue, au cas par cas.
Les enseignants, quant à eux, sont toujours tenus à la plus grande discrétion, sous peine de sanctions, en matière de conviction politique ou religieuse ;mais ils ont le devoir de respecter et de faire respecter les convictions des élèves.Sans avoir précisé que les élèves doivent respecter absolument les convictions des professeurs.

NOTA : Cet oubli a ainsi permis, à mon humble avis, une attaque terroriste islamiste perpétrée le 16 octobre 2020, parlons vrai : le meurtre de Samuel Paty enseignant à CONFLANS.

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Complotisme

Comme se mot change de sens, comme le chiffre 6, ou le chiffre 9, selon l'endroit d'où on le regarde, je vous demande simplement d'y réfléchir ! Retrouvez votre bon-sens ! Merci !

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Politique

Quelle est l’étymologie du mot politique ?

Le mot politique est un emprunt à un mot latin qui vient lui-même du grec. Si nous remontons aux origines, nous trouvons le nom grec polis qui veut dire « cité ». Notez que cité, ici, n’est pas un synonyme de ville : il est à comprendre dans le sens de « cité-État », c’est-à-dire de communauté politique et religieuse indépendante. Le mot grec polis a donné plusieurs dérivés, dont l’adjectif politês : « de la cité, de l’État ». Politês a lui-même eu pour dérivé l’adjectif politikos qui signifie « qui concerne les citoyens, relatif à l’État ».
À partir de là, nous avons deux routes à suivre.
  • D’un côté, le grec politikos donne l’adjectif latin politicus : « relatif au gouvernement des hommes ». Au XIVe siècle, le français emprunte ce mot au latin et c’est ainsi que l’on obtient l’adjectif politique. On l’emploie quand on dit par exemple sciences politiques, homme politique.
  • D’un autre côté, politikos continue d’évoluer en grec pour former un nom féminin : politikê tekhnê, qui s’abrège en politikê tout court. Cela signifie « science des affaires de l’État ». Ce mot donnera politice en latin, avec le même sens. Au XVIIIe siècle, le français emprunte ce mot au latin et c’est ainsi que l’on obtient le nom la politique. C’est lui qu’on emploie quand on dit faire de la politique.


Voyez mon développement à ce sujet dans cette page. Merci.

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Contradiction

Du latin contradicere le sens courant est "dire le contraire de ce qui a été dit". Contraire est à la fois "opposé" et "inversé"
Mais en philosophie ( qui n'est plus enseignée aujourd'hui - ou si peu - ) il s'agit de la sission d'un même substrat où deux termes s'opposent et dépassent leur opposition en se réconciliant.
Ce que l'on appelle contradiction n'est qu'une façon différente de voir le plus souvent.
Parfois on touche à l'absurde, mais c'est en bravant les contradictions qu'un peuple grandit en restant sans jugement le plus possible.

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Connexion

« Connection » est un américanisme fautif. La bonne orthographe est « connexion ». Cette étonnante graphie doit ses origines au latin
Il faut bien l’admettre : à force de lire des textes en anglais sur la Toile, on en perd parfois son latin. Et puis, à vrai dire, le mot « connexion » a toujours été trompeur. Pourtant, il s’écrit bel et bien avec un « x ». Retour sur une orthographie peu orthodoxe.

Le mot qui sort du lot

Quand on éjecte, c’est une éjection. Quand on inspecte, c’est une inspection. Quand on infecte, c’est une infection. Alors, quand on connecte, c’est une connection ? Eh bien, non. Pour écrire « connexion » avec correction, il faudra faire usage d’un « x ». Un mot mutant, comme les X-Men ? Voilà un bon moyen de s’en souvenir, mais plus sérieusement, d’où vient cette orthographe barbare ? Du latin, bien sûr.

Du latin à l’anglais américain

Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Linguistique, « connexion » vient de « connexio », lui-même dérivé de « conectere » (nouer, enchaîner, associer). Un autre mot français a d’ailleurs conservé ce « x » : c’est l’adjectif « connexe ». Pourquoi, alors, l’anglais a-t-il opté pour « connection » ? Eh bien, figurez-vous que les Britanniques n’y sont pour rien : ce sont les Américains qui ont adopté (et imposé) cette graphie. En bon anglais british, le mot s’écrit toujours comme en français.

Le truc pour s’en souvenir

Pour ne plus faire l’erreur, vous pouvez invoquer les X-Men comme suggéré ci-dessus. Mais si vous n’y connaissez rien aux super-héros, il existe un autre moyen mnémotechnique pour ne plus tomber dans le piège : dites-vous que quand vous éprouvez de l’attirance pour quelqu’un, c’est qu’il y a une bonne connexion… et que ce mot, du coup, est « classé X ».

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Remarquable

-[Larousse]
Digne d'être remarqué, extraordinaire,insigne, éminent..
-[ mais aussi ..]
Brillant, considérable, éclatant, émérite, épatant ( pour ceux qui connaissent encore ce mot ! )
Voyez par exemple ici, information multiple
Le mot "épatant" est bienvenu car cela m'épate en effet !
Toute cette haine qui a été vomie sur des personnes qui ont tenu des propos qui sont aujourd'hui reconnus comme exacts !
C'est RE MAR QUA BLE !


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PROPAGANDE

-[Larousse]
Toute action sur l'opinion organisée en vue de répandre une opinion, une doctrine, une idéologie, etc ...
- propager : répandre, diffuser, colporter dans le public : propager de fausses nouvelles <= c'est Larousse qui a choisi cet exemple !
Mon avis étant très proche de ce qui est écrit dans WIKIPÉDIA, donc je vous place une partie de la page concernée.
La propagande est un ensemble de techniques de persuasion mises en œuvre pour propager, par tous les moyens disponibles*, une opinion ou une idéologie. Ces techniques sont exercées sur une population afin de l'influencer**, voire de l'endoctriner. Elle se caractérise par une manipulation mentale qui mélange sciemment l’information et l’opinion, afin d'éliminer le pluralisme des points de vue et d'empêcher l'exercice de l'esprit critique.
* Action psychologique qui met en œuvre tous les moyens d'information pour propager une doctrine, créer un mouvement d'opinion et susciter une décision. » Informations lexicographiques [archive] et étymologiques [archive] de « propagande » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales

** De forme neutre, la propagande est définie comme une forme intentionnelle et systématique de persuasion, ayant le but d'influencer les émotions, les attitudes, les opinions et les actions des groupes cibles pour attendre des objectifs idéologiques, politiques ou commerciaux, à travers la transmission contrôlée des messages d'information partiale (qui peut être ou ne pas être factuelle) via les canaux directs de masse et des médias. » Richard Alan Nelson, A Chronology and Glossary of Propaganda in the United States, Greenwood Press, 1996.

Le mot “propagande” tient son étymologie de propagare, littéralement “ce qui doit être propagé
  • Dans sa définition la plus courante, on la décrit comme “un ensemble de techniques de persuasion mises en œuvre pour propager, par tous les moyens disponibles, une idée, une opinion, une idéologie ou une doctrine et pour stimuler l’adoption de comportements au sein d’un public cible”.

  • Dès l’Antiquité, différentes formes de ce que l’on appellera plus tard la propagande voient le jour.

    L’éloquence des sophistes grecs, le culte impérial des Romains, les récits de guerre et de conquête au fil des siècles... Pour attaquer et discréditer (“propagande négative” ou “d’agitation”) ou pour mettre en scène et faire la démonstration du pouvoir (“propagande positive” ou “d’intégration”), les pratiques de propagande se sont très tôt invitées dans les pages de notre Histoire. Rien de bien neuf sous le soleil !

  • À proprement parler, le terme de propagande voit le jour à partir du XVIIème siècle, sous le règne du pape Grégoire XV. Avec la création du Congregatio de propaganda fide, le Vatican souhaite reconquérir les fidèles qui se raréfient dans le monde occidental. Pour la première fois dans l’Histoire, la propagande est institutionnalisée et définie en tant que telle.

  • Au fil des siècles, la propagande s’invite progressivement dans les champs politiques et sociaux.

    En 1792, Condorcet décrit la propagande comme une “action organisée en vue de répandre une opinion ou une doctrine”.

  • Il faut attendre la Première Guerre mondiale pour que la propagande obtienne un sens définitivement péjoratif : les gouvernements engagés dans le conflit comprennent alors toute la puissance du contrôle de l’information sur les populations... la boîte de Pandore est ouverte pour de bon !

  • La Seconde Guerre mondiale ne fera qu’amplifier le phénomène et sa connotation négative : le Troisième Reich en fait un mécanisme d’Etat avec son Bureau de la propagande dirigé par Joseph Goebbels.


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