L'éthique de la Grande Harmonie Universelle

Voir dans le lexique ma définition de l'éthique de la Grande Harmonie Universelle.

Actions et débats à mener.

Il importe de se préoccuper dès à présent du futur, de la pérennité, des équilibres, de la lutte pour la paix, pour la liberté, car il n’y a pas d’harmonie entre des êtres en situation d’oppression. Pratiquer cette éthique, c’est rechercher la concorde au sein de sa famille, de son quartier, de son pays, de sa planète. Or la paix sur la planète ne peut exister si la paix avec soi-même n’est pas faite. Commençons donc par nous-même.

L’attitude adéquate (celle que je dois travailler moi-même, pour l'exemple,) pour développer cette éthique consiste à en témoigner, à la traduire directement dans notre façon de vivre, à œuvrer positivement. Elle nous encourage à ne pas nous complaire dans la critique, le combat ou l’esprit de parti. Elle nous invite à vivre heureux, serein et aussi équilibré que possible. Car on ne peut fonder l’harmonie sur la révolte, l’agitation, la culpabilité, la frustration, la haine. Dans ce but, on évite certains sujets, limitant ainsi volontairement la libre communication nécessaire à une harmonie profonde et durable, certes, mais il n’est pas nécessaire de «forcer le passage». Oui, des conflits en surface peuvent être enrichissants. On ne cherche pas des coupables, mais des solutions. On agit au lieu de médire. On aide au lieu de condamner. On coopère au lieu de rivaliser. On s'interroge avant de répondre. On réfléchit avant d'agir. On mène des médiations pour aider à faire éclore des solutions. Une telle éthique ne se contente pas de désirer l’harmonie, elle la réalise par son essence même. Elle se situe entièrement dans la pensée et la réalisation. Elle n'a rien de chimérique car elle repose sur le besoin humain profond et universel qu’est l'amour.

L’harmonie au maximum impliquerait la communauté d’objectifs ? Pourrait-il y avoir harmonie entre personnes poursuivant des objectifs incompatibles armés du désir insatiable de richesse, de pouvoir, de conquête ?

Evidemment, forcer les individus, n’œuvrerait pas dans le sens de notre histoire, puisqu’il y aurait plus qu’une contrainte, un manque de confiance, une marque d’irrespect, concept contraire à notre éthique. Par le partage de l’expérience, le moyen de permettre les échanges d’opinions et par le dialogue naissent les liens vers une harmonisation des relations. Cette étape est la première à atteindre. Ensuite ces relations nouvelles et évolutives conduiront, grâce à la continuité et les échanges toujours plus riches pour tous, jusqu’à notre but ultime qu’est la

Grande Harmonie Universelle