MENSONGE PLANÉTAIRE CLIMATIQUE
repris le 20 juin 2023 - rajout le 25-08-2023
Faîtes-vous votre propre idée, mais prenez le temps de lire les avis de spécialistes.
MENSONGE PLANÉTAIRE CLIMATIQUE
Auteur : Pauline Mille
les caractères en gras, c'est de moi ! 3-10-2017Thermomètre de l’océan, histoire du climat
Postulé par des modèles mathématiques complexes, le réchauffement climatique n’est pas confirmé par l’expérience. Des « scientifiques » s’échinent donc à sauver un mythe politiquement important : ils nient l’histoire du climat et cassent le thermomètre des océans.
Tel qu’il est décrit dans les médias, d’origine humaine et continument accéléré, le réchauffement climatique prend l’eau. Le grand public commence à savoir que les glaces du pôle Sud, loin de disparaître, s’accroissent, et que les mesures de la Nasa ne discernent aucune hausse globale du thermomètre depuis bientôt vingt ans. Et malgré la censure précautionneuse des médias, des voix autorisées s’élèvent pour mettre en doute le dogme fallacieux imposé par le GIEC. Dernièrement, un ancien ministre des finances de Margaret Thatcher, Lord Lawson, a pu dire la vérité sur la BBC. Alors, pour sauver à tout prix le mythe sur quoi l’empire écologique prétend se fonder, de pseudo scientifiques ont reçu la mission de nier carrément tout ce que l’on croyait savoir de l’histoire du climat dans une étude parue jeudi dernier.
Les foraminifères, thermomètre du réchauffement
Résumons l’argumentation de Sylvain Bernard, géochimiste du Muséum d’histoire naturelle de Paris, patron de la petite équipe qui a publié l’étude dans Nature Communications. « Jusqu’à maintenant, on pensait qu’il y a 100 millions d’années, sous le Crétacé, l’océan profond était 15 degrés plus chaud qu’actuellement et qu’il avait refroidi continument jusqu’à il y a une dizaine de millions d’années environ ». L’opinion générale était que le fond des océans, où le thermomètre jauge aujourd’hui 3,5 degrés centigrades, était alors à 20 degrés. Mais pour Sylvain Bernard, « le thermomètre utilisé n’est plus fiable et toutes les interprétations qui ont été faites à partir de lui sont fausses ». L’argumentation technique est à la fois très simple et un peu compliquée : on inférait la température des océans au Crétacé de la teneur en oxygène des coquilles calcaires de certains fossiles microscopiques, les foraminifères : or, selon un consortium de minéralogistes de Paris et de Lausanne, d’autres facteurs que la température à l’époque ont pu avoir une incidence sur cette teneur en oxygène, donc le thermomètre n’est plus fiable.
Des scientifiques cassent le thermomètre des océans
Pour Sylvain Bernard, c’est clair : « Les données sur la température des océans dans le passé sont de ce fait biaisées ». La thèse contredit tout ce que les scientifiques spécialistes de la choses pensent de l’histoire du climat, aussi le géochimiste reconnaît-il « s’attendre à ce que certains paléoclimatologues soient très critiques », mais il n’en tire pas moins des conséquences audacieuses. Selon lui, les modèles climatiques actuels seraient « calibrés » sur l’évolution des températures dans le passé. Or, puisque celles-ci « sont sans doute totalement fausses, les modèles risquent également d’être faux ». Et d’arriver à cette conclusion (qui en fait a justifié toute l’étude et ses hypothèses) : « Les océans du passé n’étaient pas forcément plus chauds que les océans actuels. C’est pour cela que l’on dit que le réchauffement climatique actuel n’a peut-être pas de précédent. »
Ils nient toute l’histoire du climat…
Ici, plus de vocabulaire technique ni de considérations scientifiques regardant les expériences menées sur les foraminifères en laboratoire, mais, sous le flou des « pas forcément » et des « peut-être pas », une suggestion : jamais l’on n’a vu tel réchauffement climatique. Plus exactement, puisqu’on a pu se tromper sur la température des océans voilà cent millions d’années, on s’est trompé aussi sur la température de la terre depuis que l’homme y est apparu.
Ici, Sylvain Bernard et ses camarades se fichent du monde. Même sans connaître l’histoire du climat, chacun sait, à considérer la grotte de Lascaux et ses mammouths, qu’une grande période glaciaire a refroidi notre planète, avant un réchauffement climatique brutal voilà dix-huit mille ans à peu près, qui a fait monter les océans et donné aux terres émergées leur forme d’aujourd’hui. Et que depuis, réchauffements et refroidissements ont alterné. Même sans connaître la notion « d’optimum climatique » que l’on situe classiquement, pour l’ère historique, au treizième siècle après Jésus –Christ, chacun sait qu’il y a eu, au moyen-âge, de la vigne en Angleterre, que le Groenland a été ainsi nommé par les Danois parce que c’était une île verdoyante (Groen), et que sous les glaciers des Alpes demeurent enfouis des hameaux jadis habités.
et la préhistoire, pour sauver le réchauffement climatique
Et si l’on tient, comme Sylvain Bernard, à faire des sauts abyssaux dans l’échelle des temps, on peut lire Sciences et avenir du 23 novembre 2015, qui fait état de la découverte par des chercheurs britanniques de forêts fossiles sous le cercle polaire arctique, dans l’archipel norvégien des Svalbard où pullule aujourd’hui l’ours blanc, des sortes de palmeraies, vieilles de 400 millions d’années, au Dévonien. Il faut bien d’ailleurs qu’il y ait eu des forêts à un moment donné dans l’Arctique pour qu’existent aujourd’hui les champs de pétrole et de gaz que la Russie, le Danemark et le Canada se disputent. Deux ans et demie plus tôt des chercheurs canadiens avaient découvert à Ellesmere, la terre la plus nord, des os de chameaux géants ayant vécu là-bas voilà seulement trois millions et demie d’année, au Pliocène, quand la région était déjà fraiche, mais boisée.
Utiliser des données scientifiques pour un but politique
Alors il est bien possible que les foraminifères étudiés par les géochimistes dont Sylvain Bernard est le porte-parole aient vu leur « teneur en oxygène 18 multipliée par 500 après trois mois d’immersion dans de l’eau à 300 degrés », et que cela montrerait que « la teneur en oxygène 18 des tests des foraminifères peut changer après leur mort sans laisser de traces visibles ». Mais cela n’entraîne nullement que la température du fond des océans ait été plus basse que l’on ne le croit voilà cent millions, et moins encore que le réchauffement actuel n’ait pas eu de précédent, dans l’histoire ou dans la préhistoire, puisque d’autres « thermomètres » prouvent le contraire. Des scientifiques attachés à sauver le mythe du réchauffement climatique ont pu utiliser à cette fin des observations justes en elle-même mais sans lien de cause à effet avec l’hypothèse qu’ils suggèrent. La gêne que leur cause cette contorsion logique se lit d’ailleurs dans les « peut-être pas » et les « pas forcément » de Sylvain Bernard. Ils se prévalent d’une étude très pointue pour donner de l’eau au moulin des réchauffistes, mais ils ne peuvent nier toute l’histoire du climat sans avoir un peu conscience de leur imposture.
Pauline Mille - reinformation.tv
Haut de page
Relativité geologique
Voici 33 Points qui prouvent que le CO2 n’est pas responsable du réchauffement climatique, par le géologue, Dr. Roger Higgs.
Un démontage complet de la théorie du réchauffement climatique anthropique du GIEC (Traduction de l’ensemble des points par Elpis ).
Sources :
-- de ce dossier
-- du document original
Les points traduits :
Il s'agit d'images donc j'ai retranscrit en fichier PDF!
Faire défiler vers le bas.
Il y a plusieurs points sur certaines fiches.
Le texte version originale non traduit :
Haut de page
Haut de pageLa glace de l’Arctique n’a toujours pas disparu...
TRIBUNE - En 2009, John Kerry, qui était alors le président de la Commission des Affaires étrangères du Sénat américain, avait déclaré que dans les cinq années à venir, "les scientifiques" prévoyaient la disparition des glaces dans l’Océan Arctique en été… Avec des conséquences catastrophiques pour le climat.
Il se trouve que ce 9 juillet dernier, je devais rentrer d’Asie de l’est. Or, les compagnies aériennes occidentales ne peuvent plus survoler la Fédération de Russie, depuis les sanctions croisées liées à la guerre en Ukraine.
Dès lors, les vols retour pour l'Europe doivent passer de l'autre côté, vers le nord-est, et doivent ainsi survoler l’Arctique. Et voici donc ce que je vis (cf. la photographie qui illustre cet article) à mi-chemin, par le côté droit du hublot, en regardant vers le Sud. Et voici ci-dessous la position de l’avion à ce moment-là sur l’écran de contrôle :
À la verticale, voici ci-dessous l’image de la caméra de l’avion, 5 minutes auparavant, au-dessus de ce qu’on appelle la mer de Beaufort :
Alors, certes, ce n’est pas la banquise ferme à perte de vue. On voit des cassures. Mais on est encore loin d’une disparition de la glace.
Et douze minutes après la prise de la première photo publiée plus haut, voici ce que l’on voyait du hublot alors que l’on survolait les premières îles du grand nord canadien :
Le bout de Terre que l’on voit à l’image est la pointe sud de l’île du Prince Patrick, qui marque le débouché de la route la plus directe du fameux passage du Nord-Ouest, dont on nous parle depuis des années. Cette nouvelle route maritime devait révolutionner le commerce mondial, en permettant une route plus courte entre l’Europe et l’Asie, ou un trajet entre les côtes est et ouest de l’Amérique du Nord, sans passer par le canal de Panama. A voir les images, seuls des brise-glaces peuvent naviguer dans ces eaux. Et la mer de Beaufort plus à l’ouest était bien plus couverte encore, comme on l’a vu.
Ces quelques observations à l’œil nu que chacun peut faire, permettent de confirmer que John Kerry, et les scientifiques qu’ils citait se sont lourdement trompés il y a 14 ans.
Le sénateur républicain Ted Cruz ne s’est pas privé, il y a seulement deux semaines, de moquer les prédictions alarmistes de Kerry.
Aujourd’hui, John Kerry, est "l’Envoyé présidentiel spécial pour le climat" de l’administration Biden. Soit l’homme qui parcourt la planète pour nous prévenir de la catastrophe climatique imminente. Des prévisions alarmistes que seules l’Union européenne et la Californie semblent prendre au sérieux, au point de prendre des mesures radicales qui risquent de plomber gravement leurs économies à court terme, pendant que le reste du monde continue de vivre comme avant. À quoi cela rime-t-il ?Kerry et "ses" scientifiques ont-ils raison d’être alarmistes ? Ou ont-ils encore tort ?
Il semble on ne peut plus important de pouvoir écouter toutes les voix scientifiques qui ont quelque chose à dire à ce sujet qui ne soit pas aligné avec les diktats des gouvernementaux ou de ceux du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), qui dépend de l’Organisation des Nations unies (ONU).
Cette administration, non élue, agit-elle encore pour le bien de l'humanité ? Lorsqu'on voit ses orientations particulièrement préoccupantes prises durant la crise Covid ou qui se met à prêcher l'éducation sexuelle des enfants dès la petite enfance, on est en droit de douter que l'ONU agisse pour l'intérêt commun ou le bien de l'humanité.
Dès lors, face à une problématique aussi complexe que celle du climat planétaire, on doit écouter les voix dissonantes dans le monde scientifique, comme John Clauser, le Prix Nobel de Physique 2022, récemment scandaleusement interdit de conférence au Fonds Monétaire International. Ce dernier a certainement plus de connaissances sur le sujet que la jeune Greta, égérie médiatique hystérique et escroc intellectuelle - dis-je du catastrophisme climatique.
Si un consensus semble se dégager sur un réchauffement planétaire, la question demeure de savoir dans quelle mesure l’activité humaine en est responsable… Mais aussi à quelle vitesse il se produit. Certainement pas aussi vite que l’on prévoyait il y a bientôt 15 ans. Ça, au moins, on en est sûr aujourd’hui.
Avant de conclure, juste pour le plaisir, et parce que la Terre est une si belle planète, voici une rare prise de vue de la côte Est du Groenland. Il y a de ce côté-là moins de glace grâce au Gulf Stream.
Quand on pense que certains comme Jean-Pierre Jancovici veulent nous limiter de manière autoritaire et dystopique à seulement quatre voyages en avion pour toute la vie, on frémit.