Placé le 15-03-2014 - reprises 27-08-2023 puis 10-10-2023
TRIADE = toujours par trois
les3 EÉconomiePar cette attitude qui consiste à ne réaliser que les tâches utiles destinées à atteindre un objectif prédéfini : je me concentre sur les "gros cailloux", c´est à dire les tâches essentielles, voilà la première clé. Efficacité :Je réalise les tâches "au plus vite" ou bien je les inscris chacune dans un temps déterminé. "Je fais passer un message en une heure au lieu de deux", est un bon exemple, si je reste strictement concentré sur l´objectif à atteindre : voilà la seconde clé. Énergie :Mieux la gérer est la dernière clé. C´est très important il me semble. Je mets en œuvre mon plaisir, ma motivation, mon désir, mais aussi ma chronobiologie, mon sommeil, mon hygiène de vie, mon alimentation, … , toute ma sphère personnelle est concernée. |
les 3 RRespect envers moi-mêmeest le premier qui doit exister pour permettre l´émergence des suivants, Respect des autres,Responsabilité de mes actions.Je décide de ce que je fais ou ne fais pas, ce ne sont pas les autres qui décident de ce que j´entreprends, c´est uniquement moi, et j´en suis le seul responsable. |
les 3 guides Pensée droite et pure, dans la clarté Parole droite et pure, dans la clarté Acte droit et pur, dans la clarté |
les 3 principes vitaux(¹)Notre place n’est pas un lieumais le constat de l’expérimentation de se laisser surprendre, en se situant dans le respect de soi, sans attente. L’amour n’est pas un « objet » qui se donne ou qui se reçoitmais le constat issu d’une façon de s’accueillir en vivant intensément, sans réserve, dans la reconnaissance de ce qui est vrai pour soi. L’accomplissement de soi n’est pas actionmais le constat d’être dans un état de pardon, d’acceptation et de lâcher-prise. OUI, Tout cela est une véritable remise en questions des fondements même de notre éducation et de notre culture.En effet, aussi « choquant » que cela puisse paraître, nous n’avons pas à pardonner, à accepter ou à lâcher prise !
(¹) Développé par la BIOANALOGIE de Jean Philippe BRÉBION |
Haut de page