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Christ a pris notre humanité, IL est allé jusqu´au bout "

Christ a pris notre humanité, IL est allé jusqu´au bout !

Une autre petite fois, allons-y !

Christ a pris notre humanité, IL est allé jusqu´au bout !

Cette phrase a été un leitmotiv de Sœur Gabrielle de la "Fraternité Monastique de Jérusalem" à Vézelay, lors d'une de ses intervention sur RCF. une radio catholique que je capte en région brestoise.

Elle continuait ainsi :
"Le Christ a peut-être pris les actes grâves de l´humanité pour essayer de nous en libérer. Puisqu´IL était profondément bon et miséricordieu. Et depuis, à chaque acte vil commis, Christ souffre. IL souffre ainsi à chaque fois, car IL a pris tout de notre manière de vivre l´humanité.

Et notre mission à tous est d´avoir de l´Amour pour LUI. Pour qu´IL ne souffre plus à cause de l´état où nous avons mené l´humanité.

Sa rédemption sera totale lorsque nous agirons tous, et tous ensemble, uniquement par Amour, pour la Vie ."

IL était profondément écœuré des hommes !

IL a choisi de mourir sur la croix pour montrer à ses fidèles qu'IL en avait assez et qu'IL allait leur prouver qu'IL pouvait réellement revenir !

Voilà, me semble-t-il, le sens de l'acte réel du Christ.


Voici du nouveau :

... qui date de l'an 2000 quand même ! mais c'est nouveau pour ceux qui commencent à ouvrir les yeux !

Et qui croire ? La vérité est ailleurs dit-on dans X files !!!
Mais si,... mais si, ... messie ? ? ?

On a découvert le message caché de la Bible

Publié le 26/11/2000 - Activités et Loisirs - HISTOIRE

Les Hébreux étaient des Égyptiens adorateurs du dieu Aton. C'est ce qu'ont découvert deux chercheurs français. Une hypothèse pressentie, au siècle dernier, par Champollion.


Cette découverte fera du bruit. Elle agace, déjà, le milieu scientifique - historiens et archéologues -, et trouble le monde religieux. Le bruit court que les agents de Steven Spielberg en ont eu vent outre- Atlantique et que le grand cinéaste pourrait porter à l'écran « Les secrets de l'Exode », l'ouvrage de deux chercheurs hébraïsants (1).

Les intuitions de Sigmund Freud

Que nous disent Messod et Roger Sabbah ? Ce que le Lotois Jean-Fran&coedil;ois Champollion avait, bien avant eux, probablement pressenti - il est mort trop tÔt pour aller au bout de ses convictions. Ce que le psychanalyste Sigmund Freud avait, il y a soixante ans, géniale intuition, soup&coedil;onné en évoquant, dans ses écrits, l'hypothèse d'une transmission aux Hébreux, par Moïse l'Égyptien, de sa propre religion, celle du dieu Aton.
Messod et Roger Sabbah vont plus loin encore en soutenant que tous les Hébreux sont des descendants des anciens Égyptiens.

Ils s'appuient d'abord sur un constat: il n'y a aucune preuve archéologique de l'existence de ces Hébreux tels qu'ils sont décrits dans la Bible. Pour la plupart des savants, ils seraient vaguement assimilés, faute de mieux, aux « Apirous », peuple semi-nomade aux contours flous et aux mœurs surprnantes, pense-t-on. Aussi s'interroge-t-on depuis des lustres: comment une population ayant vécu près d'un demi-millénaire en Égypte, forte de près de deux millions d'âmes, a-t-elle pu fuir le pays, l'armée du pharaon à ses trousses, puis s'installer en « Terre Promise », alors administrée par l'Égypte, sans qu'aucune trace ne subsiste ni de leur long séjour, ni de leur exode ? Pas de trace non plus d'Abraham. Inconnu au bataillon pour les scientifiques. Pas d'inscription, pas de récit, rien dans les temples, rien sous le sable du désert.

L'obscur pharaon Aï

Nos deux chercheurs fondent ensuite leur hypothèse sur une troublante étude comparative des écritures, l'hébraïque et les hiéroglyphes. Dans le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient des inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites, certaines lettres ressemblant à s'y méprendre - forme, prononciation, valeur symbolique - à l'alphabet hébreu. La coïncidence, à l'époque, n'émut personne. Pas plus que celle-ci: sur un mur du tombeau, le double « cartouche (la signature gravée) d'un obscur pharaon, Aï, dont le nom, en hiéroglyphes, ressemble à celui, dans la Bible araméenne, de Dieu, prononcé Adonaï (Aton-Aï). Et, à l'entrée de la salle du trésor, gardant la tombe, couché sur un coffre, le chien Anubis (ou Anapi): en hébreu, « Nabi » signifie « gardien de la loi ». Chien et coffre étaient recouverts d'un tissu sacré rappelant le châle de prière des Hébreux. Le coffre à brancards, lui, pourrait s'apparenter à l' « Arche d'Alliance » telle qu'elle est décrite dans la Bible.

Arguant de ces similitudes - il y en a bien d'autres -, les frères Sabbah ont relu de fond en comble les textes. Ils en ont déduit que la langue hébraïque était issue des hiéroglyphes, stylisés. Et, dès lors, tout s'est éclairé: les énigmes de la Bible, les noms aux consonances étranges parce qu'étrangères, les personnages, l'Histoire.

Remontons 3350 ans en arrière. Akhet-Aton, capitale de l'empire d'Égypte - connue aujourd'hui sous le nom de Tell El Amarna -, est la ville du pharaon Akhénaton (« Je suis le soleil vivant ») et de la reine Nefertiti. C'est une cité d'or et de lumière, située au nord de l'actuelle Assiout, sur le Nil, c'est la cité sainte du dieu Aton, le « dieu unique », créateur du ciel et de la terre. Akhénaton a rompu, en effet, avec les divinités du panthéon égyptien, il y règne en maître absolu. Quand il meurt, Aï, qui n'est encore que grand prêtre - plus tard, il sera pharaon sous le nom du « Divin Père Aï » -, prend les rênes du pouvoir, assurant la régence en attendant que Toutankhamon (il n'a que huit ans) grandisse.

Alors, tout s'effondre :

le culte ancestral d'Amon, dieu multiple, est rétabli, c'est le retour à l'orthodoxie. Aï et Toutankhamon vont faire en sorte que soit effacé tout vestige de cet Akhénaton de malheur qui laissait le reste du pays sombrer dans la misère, et de ce dieu Aton qui proclamait que les hommes étaient égaux et que seule la méchanceté les différenciait!

La ville, cet éden (s'agit-il là du biblique « paradis perdu » ? ) va être rapidement désertée, avant d'être, ultérieurement, totalement détruite. Tout le monde est chassé: les prêtres d'Aton, les « Yadoudaé », qui vont former le royaume de Juda, les scribes, les notables, l'élite et, avec eux, le petit peuple, « la tourbe nombreuse » dont parle la Bible, le futur Israël (en égyptien, « fils de Râ et de Dieu ») qui entrera en conflit avec Juda.

Dans leurs bagages, ils emportent leur foi monothéiste la première de l'histoire humaine , leurs traditions. Après des années d'errance et de querelles, ces « Égyptiens » vont adopter leur écriture « hébraï- hiéroglyphique » et conserver le souvenir de l'âge d'or. Aï a fait d'une pierre deux coups: il s'est débarrassé de ces encombrants monothéistes et les bannis lui servent de « zone tampon » contre les Hittites, l'ennemi du nord!

Chassés du « paradis » !

Episode annexe de ce grand départ, la fuite, vers le sud, de la police pharaonique composée de Nubiens, les « Medzaï » (« Fils d'Aï »). Au Kenya, note-t-on, les Masaï se réclament aujourd'hui d'un dieu unique, évoquent leur âge d'or, au nord, et portent des ornements qui ne sont pas sans rappeler les symboles sacrés de l'Égypte ancienne...

Bien des siècles après cette épopée, nous disent Messod et Roger Sabbah, les scribes, lors de l'exil à Babylone, ennemi juré de l'Égypte, vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, où ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, où les noms sont maquillés. Inventé donc, Abraham : inventée sa naissance en Mésopotamie !!!!

Sarah, c'est Nefertiti

Et tout concorde, pour nos deux chercheurs: la chronologie des pharaons, leurs vies, leurs actions, la Bible et l'histoire égyptienne. Abraham (« Ab-Rah-Am », père du dieu Râ et Amon) ? C'est Akhénaton lui-même: d'un côté l'Abraham biblique à qui Dieu parle, qui rejette le polythéisme et égorge le bélier en lieu et place de son fils Isaak (le pharaon Semenkharé, en égyptien Saak- Ka-Râ ? ); de l'autre Akhénaton, qui converse avec Aton, rompt avec les divinités, sacrifie le bélier (Amon). Sarah, c'est la belle Nefertiti, Agar, c'est Kiya, la seconde épouse. Moïse (« Mésés ») ? C'est Ramsès Ier, homme de guerre, impulsif. Aaron ? C'est Horemheb, général puis pharaon. Joseph ? C'est Aï: l'un et l'autre ont été enterrés en « pharaons d'Égypte » et leurs momies ont disparu...

Pas de peuple réduit en esclavage, pas de « peuple élu », pas de terre promise par Dieu :
si cette découverte les a étourdis - on le serait à moins -, cette découverte n'a pas fait chanceler la foi de Messod et Roger Sabbah, issus d'une lignée de rabbins: ils assurent être toujours croyants. !!!

* « Les secrets de l'Exode », Messod et Roger Sabbah, éditions Jean-Cyrille Godefroy, 556 pages, 185 F/28,20 euros.

Philippe BRASSART


Vous voyez, je place des textes parfois qui paraissent se contredire l'un l'autre ! Mais NON, c'est tout simplement ma façon de vous montrer que je garde mon libre arbitre en lisant des textes variés. Et je vous invite à faire vous même votre opinion en lisant, vous aussi, ces textes que j'ai choisis dans ce but : ouverture d'esprit, halte à la pensée unique.

Mises à jour : 09-03-2016 + le 28-09-2017


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