Pourquoi s'intéresser aux microzymas ?
Texte placé le 10 avril 2021 - révisé le 12-04-2021
les microzymas sont à la fois les constituants et les bâtisseurs des cellules !
Et cette réalité, démontrée de manière rigoureusement scientifique – et reproductible – par le Pr. Béchamp, permet de comprendre la physiologie cellulaire de manière parfaitement cohérente.
Bien sûr, les microzymas synthétisent des enzymes ou zymases. Cela
ne signifie pas que ces enzymes sont capables de disséquer des chaînes d’ADN que jamais personne n’a pu observer sur le vivant. Là encore, il est bien clair que la seule image de l’ADN à notre disposition pour
étayer l’hypothèse de ces molécules particulières ne permet en aucun cas de démontrer la réalité des manipulations génétiques, que ce soit par les virus dans leur prétendu processus de parasitage cellulaire, ou grâce
à leur soi-disant enzyme disséquante que l’on retrouverait à l’intérieur de la capsule virale...
N’allons pas
non plus nous imaginer que nos scientifiques modernes disposeraient d’outils, de « ciseaux » ou de
« pinces » capables de réaliser ces manipulations mécaniquement, à cette échelle !
C’est strictement impossible.
Pour en revenir à la cause des maladies, BÉCHAMP et ESTOR expliquent : « Au lieu de soutenir que l’affection observée a eu pour origine et pour cause l’introduction dans l’organisme et l’action consécutive de germes étrangers, on doit affirmer qu’on n’a affaire qu’à une déviation du fonctionnement des microzymas, déviation indiquée dans le changement qui s’est opéré dans leur forme. Nous affirmons qu’il en est ainsi de par l’expérience et l’observation. »
Au Diable donc, au sens propre, tous les délires épidémiques, voire pandémiques – totalement infantiles – qui prétendent que les maladies seraient la conséquence d’une agression par des virus ou des bactéries.
Ce n’est pas la vérité !
Il nous faut chercher la cause de ces maladies ailleurs :
Dans la gestion des émotions – et nous devons nous ouvrir pour cela au paradigme psychosomatique,
L’émotionnel se répercute immédiatement sur les constantes bioélectroniques en nous tirant vers le terrain alcalin, oxydé et pollué.
À l’inverse, marcher pieds nus sur de la terre – encore mieux dans de l’herbe - mouillée par la rosée ramène très rapidement vers la santé et la normalité des constantes bioélectroniques compte tenu de l’état du «patient»
Antoine BÉCHAMP − 1816 / 1908.
Le Professeur Antoine Béchamp oriente ses recherches sur les fermentations dès 1854 : il démontre très vite que le phénomène de génération spontanée est impossible. Il s’oppose en cela à Pasteur et à beaucoup de savants de son époque qui cherchent à toute force à démontrer que l’on peut se passer de Créateur. Ce travail l’amène à découvrir un rouage essentiel à l’origine de la vie :
le MICROZYMA !
Cette microcellule organisée bâtit le monde du vivant et synthétise les enzymes ou zymases permettant les réactions chimiques, les combustions et la respiration au cœur des organismes vivants…
Le travail de Béchamp est colossal
Chaque expérience est répétée au moins 50 fois dans des conditions identiques et 50 fois en variant les conditions… Il en observe les résultats sur des années ! Il ne s’autorise à en tirer des conclusions (et à les publier) que lorsqu’il est parvenu à une certitude ! Son travail inlassable et totalement désintéressé nous a valu des découvertes considérables, étayées par une observation rigoureuse, et une totale objectivité...
- Il est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules vibrants de l'air … Mais seulement pour les matériaux NON « ORGANISÉS ».
- Il est le premier à avoir mis au point l’antisepsie (qui bloque la reproduction des micro-organismes) et l’asepsie chirurgicale (qui les tue)...
- Il est sans conteste le fondateur authentique de l'enzymologie et de la véritable génétique !
- Il a affirmé très tôt que la panspermie est une doctrine erronée, que les microbes transportés par les poussières de l'air proviennent en fait de la décomposition des êtres vivants après leur mort !
Après ses premières découvertes dans l’eau sucrée, dès 1857, Le Professeur Antoine Béchamp se met en quête de ces fameux microzymas. Il en retrouve, fossilisés mais toujours vivants et capables de se réactiver, dans certaines roches calcaires qui ont plus de 12,5 millions d’années, dans certaines eaux minérales, dans l’air et dans divers autres milieux comme la poussière de l’air : «Ce n’est pas par milliers qu’on les compte dans 1500 litres d’air, mais par centaines de mille et davantage dans certains cas. Ce sont les plus petits ferments!
J’ai mis 7 ans à me convaincre de leur existence indépendante, de leurs fonctions et de leur nature organisée.»
Son œuvre tout entière est couronnée par sa devise :
« RIEN N'EST LA PROIE DE LA MORT,
TOUT EST LA PROIE DE LA VIE ! »
Une documentation, très bien composée, est accessible ici
Et alors, PASTEUR ???
Pasteur n’a tenu aucun compte des travaux, observations ou opinions des médecins de l’époque.
Il a commencé par nier farouchement l’existence des microzymas, puis il les a reconnus dans les poussières de l’air ( uniquement ! ) , mais leur a donné le nom de MICROBES !
Son système de PANSPERMIE atmosphérique n’explique en rien ce que deviennent les millions de microzymas que nous aspirons avec l’air ( 8000 litres d’air transitent chaque jour dans un organisme humain adulte ), ceux que nous absorbons avec l’eau, les liquides et les aliments que nous ingérons...
Il précise simplement : “on doit admettre que dans l’état de santé, le corps des animaux est fermé à l’introduc-tion de ces germes extérieurs”.
Cette simple phrase ( voir son Études sur la bière, p 40 ) aurait pourtant dû le faire réfléchir, comme l’exprime Béchamp : «Pour que les germes puissent pénétrer dans l’organisme, il fallait un désordre préalable : une maladie ou une blessure, qui préexiste évidemment à l’introduction de ces germes extérieurs.»
Pasteur N’A JAMAIS RIEN DÉMONTRÉ À CE NIVEAU ...
Il affirme péremptoirement et ça lui suffit !!! Il se base pour arriver à ces conclusions sur des expériences mal interprétées sur la maladie du vin ou de la bière ! De fait, PASTEUR CONSIDÈRE QU’UN ANIMAL OU UN HOMME EST ASSIMILABLE À UNE OUTRE OU UN TONNEAU REMPLI DE VIN OU DE BIÈRE.
À vous de voir les raisons cachées ! L'argent ?
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