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placé le 25 juin 2023

Un grand danger

qu'il est URGENT d'écarter.

Le discours sur l’identité nous pollue de plus en plus.




En Angleterre, une élève a été traitée de « méprisable » pour en avoir interpellé une autre qui s’identifie comme chat

Deux petites élèves d’une école confessionnelle liée à l’Eglise anglicane ont été réprimandées par leur professeur après que l’une d’entre elles, soutenue par son amie, a demandé à une troisième :

  • Comment peux-tu d’identifier comme chat alors que tu es une fille ?
Leur professeur – une femme, à en juger par le pronom « elle » par lequel le Telegraph britannique désigne cette personne… – les a averties que leur forfait ferait l’objet d’un rapport auprès de la direction. Elle a qualifié celle qui avait interpellé l’élève qui se croit chat de « méprisable ».

La scène s’est déroulée vendredi dans une classe de niveau 8 (l’équivalent de la 4e en France) au Rye College, dans le Sussex oriental, à la fin d’un cours d’« éducation à la vie » ; le professeur leur expliquait qu’« on peut être ce que l’on a envie d’être, et la manière dont vous vous identifiez est votre affaire ».

Pour finir, ladite maîtresse ès idéologies leur a même suggéré de trouver une autre école si elles pensaient qu’il n’y a que des garçons et des filles.

Par chance, la scène a été enregistrée par l’une des deux élèves, vraisemblablement à partir de ce moment, et le journal londonien a eu accès à l’enregistrement des vifs échanges entre les deux jeunes filles et leur professeur. Toutes deux âgées de 13 ans, elles ont osé tenir tête.


Cette histoire se passe dans une école liée à l’Eglise d’Angleterre !

L’une ayant donc naïvement demandé comment un être humain peut « s’identifier comme chat », la réponse du professeur a fusé :

  • Comment oses-tu – tu viens vraiment de bouleverser quelqu’un en remettant son identité en question !

  • Réponse de la fillette : S’ils veulent s’identifier comme chat ils ne vont vraiment pas bien – ils sont cinglés.

  • Le professeur demande alors à la jeune fille et à son amie : « D’où tirez-vous cette idée qu’il y a seulement deux genres ?

  • Je viens seulement d’exprimer mon opinion. Si je peux respecter leur opinion, pourquoi ne peuvent-ils pas respecter la mienne ? », dit l’une des fillettes.

  • « Ce n’est pas une opinion », répond le professeur : Le genre n’a pas de lien avec les parties que vous avez à la naissance, le genre a un rapport avec la manière dont vous vous identifiez, comme je l’ai dit dès le début de ce cours.
    Et de fournir une petite explication supplémentaire : « Il y a en fait trois sexes biologiques parce qu’on peut naître avec des parties corporelles et des hormones masculines et féminines. » Quant aux « genres, il y en a plein – il y le transgenre, il y a un genre des gens qui pensent ne pas avoir de genre du tout ».

  • Face à ce charabia, les fillettes osent encore dire : « Nous ne sommes pas d’accord. » On ne « peut pas avoir » un genre parce que « si on a un vagin on est une fille, et si on a un pénis on est un garçon – c’est tout ».

  • Le professeur élève alors la voix : « Ça veut dire quoi pour vous, on ne peut pas avoir un genre ? Il n’y a pas de loi… On n’est pas nécessairement cisgenre – vous faites référence au fait que le cisgenre, c’est la norme, que vous vous identifiez à l’organe sexuel que vous avez en naissant, voilà, à la base, ce que vous dites, et c’est vraiment méprisable. » Elle en profite pour les accuser d’homophobie et de « confusion ». Et lorsque les deux élèves insistent en disant que leurs mamans seraient d’accord avec elles, le professeur rétorque : « Eh bien ça aussi c’est très triste. »


C’est à ce moment-là qu’elle les menace :
  1. Si vous n’appréciez pas ce que je dis, il va falloir changer d’école
  2. Je vais vous signaler à [la direction]
  3. il va falloir que vous ayez une vraie conversation pédagogique sur l’égalité, la diversité et l’inclusion
  4. car je ne tolérerai pas ce genre de déclaration dans mon cours.
On s’identifie comme on veut : transgenre, fille, garçon ou chat, pourvu que la réalité ne soit pas invitée au débat, en fait !

Bien entendu, les parents des deux élèves prises à partie pour avoir résisté à l’idéologie du genre étaient furieux ; d’autres, plus conformistes, ont simplement regretté que le professeur se soit contenté de « clore le débat d’une manière aussi menaçante et agressive », mais reconnaissant qu’il y avait là une forme d’« endoctrinement ».

Un porte-parole de Rye College a répondu aux questions du Telegraph dans la même veine : « Nous nous engageons à offrir à nos élèves une éducation inclusive.( comme l'écriture de même nom ??? )
Les enseignants s’efforcent d’écouter les opinions des élèves et les encouragent à poser des questions et à s’engager dans la discussion. Ils s’efforcent également de répondre aux questions avec tact et honnêteté. Nous nous efforçons de maintenir les normes les plus élevées dans l’ensemble de l’école. Nous allons revoir nos procédures et travailler avec les personnes concernées pour nous assurer que de tels événements ne se reproduisent plus à l’avenir. »

L’élève face à la prof hystérique :" il aurait mieux valu « débattre », mais selon les critères du politiquement correct".
On peut dire que c’était raté. Mais une telle réponse ne change rien au fond de l’affaire : pour la direction de l’école, il s’agit simplement d’ajuster le degré de tyrannie et son mode d’expression. Le bon sens demeure interdit.

Quant à la fondation chrétienne, Aquinas Trust, qui gère un groupement d’onze écoles anglaises dont Rye College fait partie, elle avait déjà été épinglée dans les médias conservateurs britanniques en février dernier pour avoir enjoint aux directions et aux enseignants du groupe de « ré-éduquer » les élèves coupables de « discrimination » et de paroles politiquement incorrectes.
Il leur est demandé de « remettre en cause » les « expressions et actions négatives » au titre de la politique d’égalité, de diversité et d’inclusion du groupe. Après deux remarques, l’élève doit être sanctionné, précisent les directives.
Parmi les quolibets interdits :

  1. « that is mental » (approximativement : « ça ne va pas, la tête »)

  2. ou encore : « arrête de te comporter comme une fille »

  3. Toute remarque concernant « la sexualité ou le handicap » doit obligatoirement conduire le professeur principal ou leader pastoral à prononcer une sanction, « avec appel aux parents, détention (colle) ou service d’intérêt général ».

Si cette histoire vous semble incroyable, sachez que nous ne sommes pas au bout de nos peines. Un juge fédéral du Massachusetts aux Etats-Unis vient de décider qu’arborer un t-short portant l’inscription « Il n’y a que deux genres » viole les « droits LGBTQ ».
Dans cette affaire, un élève de 12 ans à Nichols Middle School avait été exclu de son école pendant une journée et s’était vu interdire de se représenter avec le t-shirt « offensant » ; ses parents avaient porté plainte avec l’aide de plusieurs associations pour faire reconnaître le droit de ce jeune garçon d’exprimer ses opinions.

Requête rejetée, donc le discours sur le genre ne tolère pas la contradiction – surtout celle qu’apporte la réalité.



Jeanne Smits



Source de ce document signé.

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Le Telegraph de Londres a publié ce mardi une analyse montrant que l’affaire, ci-dessus rapportée, de Rye College, dans le Sussex, est certes rare, mais pas inédite

Des enfants qui miaulent en cours protégés de la « discrimination » : au Royaume-Uni, le discours sur l’identité franchit un pas de plus

Au contraire, on enregistre de plus en plus de cas au Royaume-Uni de jeunes qui « s’identifient » comme un animal quelconque, voire avec une chose, avec la bénédiction tacite des enseignants : ils miaulent en cours et au nom de leur « identité », sont protégés de la « discrimination ».
Ils s’inscrivent peu ou prou dans la mode des « furries » – ceux qui se prennent pour des bêtes à poils, parmi lesquels on range aussi ceux qui se sentent dinosaures ! – qui a connu un essor avec les confinements covid.
Le Telegraph a mené l’enquête pour découvrir, avec effroi, que bien d’autres écoles britanniques sont touchées par le phénomène, au grand dam des parents dont la progéniture s’y trouve confrontée. C’est dans une école secondaire du sud-ouest de l’Angleterre qu’évolue un jeune se prenant pour un dinosaure. Ailleurs, un élève insiste pour dire qu’il est un cheval. Le cas d’un homme-lune retient également l’attention ; ce jeune vient à l’école en cape, s’est inventé le « pronom » moonself et raconte qu’il peut jeter des sorts.


...
Une élève a choisi de raconter tout cela à la presse, se plaignant de l’impossibilité pour les autres élèves de suivre normalement un cours dans ces conditions. Elle accuse les réseaux sociaux où se répandent des personnes qui d’identifient comme des arbres ou des animaux. Et explique : « Lorsque cela a commencé, cela n’a pas vraiment touché la vie réelle. C’est resté confiné aux médias sociaux, mais au fur et à mesure que cela devenait plus populaire et que de plus en plus de gens le découvraient, les gens ont commencé à l’introduire dans des situations de la vie réelle. ».

L’enseignant devrait se demander
  • ce que ces enfants regardent en ligne.

  • Sur quels forums sont-ils inscrits ?

  • Que se passe-t-il à la maison ?

  • Que se passe-t-il dans la vie de cet enfant et qui d’autre est impliqué ?

  • Le problème, c’est que les enseignants ont un angle mort lorsqu’il s’agit d’identité, car
  • ils ont peur de faire ce qu’il ne faut pas faire.

  • ils pensent "être gentils" en validant ces comportements, mais ils ne le sont pas

  • ils risquent de passer à côté de toutes sortes de choses qui se passent dans la vie de cet enfant.

Cet « angle mort lorsqu’il s’agit d’identité » est précisément au cœur de l’affaire. On peut s’indigner, on peut en rire ( mais on aurait tort ), on peut – comme le fait le ministère britannique de l’Education, qui se garde bien de donner des directives claires – demander aux enseignants de faire preuve de « bon sens » lorsqu’ils sont confrontés à de tels comportements.
Or il leur est sans cesse demandé de faire l’inverse, surtout au Royaume-Uni où l’idéologie du genre fait encore plus de ravages qu’ailleurs. Ils se voient contraints de respecter « l’identité de genre » de leurs élèves, au risque d’être licenciés en cas de refus ; ils sont sous le coup d’innombrables lois, directives et règlements intérieurs qui imposent la « diversité » et l’« inclusion » ; ils risquent des mises à pied lorsqu’ils osent saluer une classe de filles dans une école de filles d’un tonitruant : « Bonjour, les filles » si par hasard s’y trouve une demoiselle qui « s’identifie » comme garçon.



On peut gloser longtemps sur ces affaires, mais l’essentiel à retenir est ceci : dès lors qu’on dissocie le langage de la réalité, que l’identité n’est plus considérée à l’aune de la vérité, que l’enseignement du sens du verbe « être » ne se fait plus de manière traditionnelle (comme c’est le cas dans la plupart des « grammaires » enseignées dans les écoles occidentales), que l’on confond sujet et objet, que les « pronoms » sont dénaturés jusqu’à en faire des éléments de lutte politique, les choses les plus délirantes acquièrent droit de cité.

Au point de nier celui des pauvres ringards que nous sommes : nous qui savons que veritas est adaequatio rei et intellectus : la vérité est l’adéquation entre la chose et l’intelligence.


Jeanne Smits



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En Grande-Bretagne, dans les écoles, on apprend aux enfants la masturbation et le sexe anal

C’est peut-être sordide et on préférerait fermer les yeux. Mais il faut le savoir, car le monde anglo-saxon est juste, sur nous, en avance d’une coudée. Le wokisme y bat son plein : en France, il creuse peu à peu sa place. Nous aurons donc bientôt, dans les classes de nos enfants, cette fièvre sexuelle violemment transgressive que l’on observe outre-Manche et outre-Atlantique, qui veut les emporter en dehors des sentiers battus et les assujettir à sa loi, nouvelle et surtout anti-normée. Les cours d’éducation sexuelle y promeuvent la masturbation et le sexe anal. Et ils sont destinés à des enfants de 12 ans, voire de 9 ans – avant même qu’ils soient pubères.



Aux Etats-Unis, c’est la même eau qui coule.
Une école pourtant privée, suivant la pédagogie Steiner-Waldorf, a adopté « Our Whole Lives » (OWL), un programme complet d’éducation sexuelle, conçu avec l’Eglise unitarienne universaliste (et adhérant à l’initiative Comprehensive Sexuality Education, CSE, largement soutenue par le président Obama). Des parents ( qui payent fortement la scolarité annuelle ) ont été scandalisés : pour des élèves de fin de primaire, tout y passe, du sexe oral au sexe anal, sans oublier la masturbation, le pilier premier de départ.

Une section du livre s’étend sur la façon dont les enfants, du même sexe ou de sexes différents, « peuvent même se regarder et même se toucher le corps » : un type normal d’exploration pour le programme. Les enseignants distribuent des « cartes de variation de genre » et encouragent les enfants à imaginer qu’ils se réveillent un jour « avec un corps et une identité de genre différents »…

« Ce qui m’inquiète, c’est que lorsque des idées sont évoquées en classe à plusieurs reprises… elles ont une certaine signification pour l’enfant et elles sont dès lors insérées dans sa conscience » a déclaré une mère de famille, lors d’une réunion publique dans l’école.
Sa fille de 10 ans a dû apprendre la « masturbation » : « ses jeux ont changé, ses pensées ont changé… cela a changé qui (elle) était en tant que personne, à l’âge de 10 ans » s’est-elle plainte.



Clémentine Jallais



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L’Irlande du Nord doit suivre l’idéologie woke

Les représentants de l’Eglise d’Irlande du Nord ont réagi avec inquiétude à l’imposition de ce programme obligatoire d’éducation sexuelle, l’un d’entre eux appelant à boycotter les cours, parents comme enseignants. Tout cela, selon Mgr McKeown, se fait « grâce » à la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, issue des Nations-Unies. En dépit du pays réel, l’Irlande. « On nous contraint adorer », dit-il, cette nouvelle idéologie « sur l’autel des droits de l’homme et tout le reste doit être sacrifié au service de cela ».

Le Dr John Kirkpatrick, modérateur de l’Eglise presbytérienne d’Irlande, a déclaré que le secrétaire d’Etat tentait « d’imposer une vision du monde particulière à l’éducation des enfants » : « Il n’y a pas de compréhension “neutre” de l’identité humaine et de la sexualité humaine. »

Et si demain, les écoles dissidentes irlandaises étaient traduites en justice ? Et si demain, les parents irlandais chrétiens ne pouvaient plus faire valoir leur objection de conscience et le droit de retrait de leurs enfants ? La récente sommation au Royaume-Uni du Comité des droits de l’enfant de l’ONU le fait craindre.



Clémentine Jallais



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Une enseignante chrétienne licenciée pour avoir critiqué les leçons LGBT enseignées à son fils gagne en appel


Licenciée et comparée aux Nazis

Elle s’était opposée sur Facebook à l’introduction par l’école de l’Eglise d’Angleterre de livres promouvant l’identité transgenre, et avait encouragé sa famille et ses amis à signer une pétition contre l’éducation sexuelle à l’école primaire.
Elle avait été pour cette raison licenciée de son poste d’enseignante à l’Ecole Farmor de Fairford, dans le Gloucestershire pour faute grave. Parmi les motifs de licenciement figuraient une « discrimination illégale », un « usage sérieusement inapproprié d’un réseau social » et des « commentaires sur internet pouvant jeter le discrédit sur l’école et nuire à sa réputation ».

Elle avait subi un long interrogatoire durant lequel il lui avait été dit que sa conviction chrétienne, telle qu’elle l’exprimait dans ces messages, était comparable aux opinions des « extrémistes d’extrême droite pro-nazis ».

Elle avait naturellement contesté son licenciement, mettant en cause la « discrimination » et le « harcèlement » dont sa foi chrétienne était victime mais un jugement du tribunal de l’emploi l’avait confirmé en octobre 2020.

La liberté d’exprimer sa foi chrétienne est un droit

Près de trois ans plus tard, après une longue procédure britannique marquée par des récusations de juge, la cour d’appel de Londres, en la personne du juge Jennifer Eady, lui a donné raison en ces termes :
« La liberté de manifester une croyance (religieuse ou autre) et exprimer des opinions liées à cette croyance sont des droits dans toute démocratie, que cette croyance soit populaire et majoritaire ou non, même si l’expression peut offenser quelqu’un ».
Le juge a critiqué le premier jugement et renvoyé le cas pour un nouveau jugement, ce qui force Kristie Higgs à attendre encore réintégration et indemnisation.

Le Christian Legal Centre, qui la soutient a salué le « courage » du juge Jennifer Eady et ajouté « Kristie a été punie en 2019 à cause du climat de haine et d’intolérance inoculé dans notre système d’éducation par Stonewall et d’autres groupes de pression LGBT ».

L’arrêt de la cour d’appel de Londres est-il le signe d’un renversement de jurisprudence ? Il faut l’espérer.

<

Pauline Mille


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Et en France ??? Silence radio ?


Le « sens » de l’histoire qu’on veut nous imposer est le même partout : en France, la direction de l’Institution Jean-Paul II de Compiègne, établissement catholique sous-contrat, vient d’être signalée à la suite d’une inspection dénonçant des « dérives graves » et une « culture de la censure », notamment sur l’homosexualité et l’avortement…



Où sont tous les pantins "Charlie" du droit d'expression ? et d'éducation !

Moi ça m'écœure tout ça !
Et pas vous ?



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