placé le 12/09/2023 - Complété le 24/09/2023
MACRON MENTEUR
SOURCE : Mon Quotidien
Rentrée 2023 : il manque toujours des professeurs
Le manque de professeur était largement pointé du doigt avant la rentrée. Pour pallier ce problème, ...
le président avait été très ferme.
Le 24 juillet 2023, il affirmait qu’il y aurait « un professeur devant chaque salle à la rentrée »
Mais selon un premier bilan mis en lumière par les parents d’élèves et les syndicats, la promesse n’est pas tenue.Un professeur en moins dans un établissement sur deux
Est-ce que le président de la République a fait en sorte de respecter sa promesse ? Il semblerait bien que non.
l’éducation nationale tente de pallier à ce manque, en, notamment, posant des petites annonces sur Facebook ou Pole Emploi pour recruter des professeurs.Les académies de Créteil et de Versailles sont cette fois encore les plus touchées
Et si le salaire est un réel problème, la difficulté d’embaucher de nouveaux enseignants réside également dans leurs conditions de travail qui ne peuvent pas être optimales dans des classes où il y a jusqu’à 30 élèves.
Le vrai problème de la rentrée est le manque de professeurs :
la secrétaire générale du Snes-FSU veut des réponses de Gabriel Attal
SOURCE : Mon QuotidienIl est vrai que si le port de l’abaya et du qami devait* être traité par l’Éducation nationale, thème complètement mis de côté par Pap Ndiaye, le prédécesseur de Gabriel Attal au ministère, il n’en reste pas moins que la surcommunication sur le sujet était destinée à cacher les problèmes structurels graves que traversent les écoles, de la maternelle à la terminale.
* ceci n'est pas mon avis mais je le laisse car sur l'original c'est ainsi écrit.
SourceEmmanuel Macron l’a décrété : c’est « la fin de l’abondance ».
On n’est jamais mieux servi que par soi-même. Dans les écoles et établissements scolaires, c’est sous le signe de la pénurie d’enseignants que 12 millions d’élèves et 1,2 million de personnels de l’éducation nationale font aujourd’hui leur rentrée.
Une pénurie qui résulte des décisions du gouvernement lui-même et constitue un signe, le plus visible et le plus inquiétant, d’un système scolaire qui se trouve désormais, comme l’hôpital ou la justice, en état d’urgence.4 000 postes non pourvus