Irresponsabilité des scientifiques
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Placé le 5 novembre 2023


Irresponsabilité des scientifiques.



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Des milliers de saumons génétiquement modifiés s’échappent en Islande, un danger mortel pour les poissons sauvages.

Une potentielle erreur aux conséquences catastrophiques. Le 20 août dernier, près de 3.500 saumons d’élevage se sont échappés d’une ferme piscicole arctique située au large du village de Patreksfjörður, dans la région des Westfjords, dans le nord-ouest de l’Islande, rapporte The Guardian. Depuis, quelques-uns de ces saumons génétiquement modifiés ont été retrouvés dans 32 rivières du pays, représentant un danger pour l’espèce au niveau local.

Une menace pour les saumons sauvages

« C’est une question qui nous préoccupe beaucoup. C’est pourquoi nous avons pris des mesures pour réduire les éventuels effets négatifs de la fuite », a exprimé à Fish Farmer Stein Ove Tveiten, le PDG de Arctic Fish, la société d’élevage de saumons à l’origine de l’incident. Parmi ces mesures, on retrouve le financement de plongeurs spécialisés, qui interviennent pour suivre à la trace les saumons évadés. Car il faut dire que ces spécimens d’élevage constituent une menace certaine pour l’environnement local.

En raison d’un dysfonctionnement dans le système de contrôle de la lumière, qui altère la maturité sexuelle des saumons, 35 % des poissons qui se sont échappés étaient matures sexuellement. Or, plusieurs études ont montré que lorsque des saumons d’élevage se reproduisent avec des saumons sauvages de l’Atlantique, leur progéniture arrive à maturité plus vite, faisant perdre à l’espèce leur capacité à survivre et à se reproduire dans leur environnement naturel, à travers, par exemple, une plus forte compétition pour manger et trouver un abri.

« Un signal d’alarme »

À ce titre, si la fuite des saumons ne vient pas violer la loi sur la pisciculture islandaise, une enquête pour négligence a été ouverte au sujet de la firme, dont les dirigeants risquent jusqu’à deux ans de prison, explique la revue We Demain. Ce n’est néanmoins pas la seule entreprise d’élevage de saumons à subir une évasion. En 2022, une autre société, Arnarlax, avait ainsi été condamnée à une amende de 705.000 livres (800.000 euros) pour ne pas avoir signalé une évasion de 81.000 poissons.

« C’est plus qu’un signal d’alarme », a assuré Jón Kaldal, militant écologiste à l’organisation Icelandic Wildlife Fund. En marge de ces fuites, il a par ailleurs été rappelé qu’une ferme piscicole de taille moyenne pouvait rejeter autant d’eaux usées qu’une ville de 50.000 habitants, et que les produits ajoutés à l’eau pouvaient entraîner une multiplication d’algues nocives.




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OGM: Les animaux génétiquement modifiés sont-ils un risque pour la nature ?

Cette semaine, des moustiques génétiquement modifiés ont été lâchés au Burkina Faso, comme le relève un article du Monde de ce jeudi. Les changements génétiques rendent soit les moustiques stériles, soit font que leurs progénitures ne peuvent être que des mâles. Dans les deux cas, le but est de diminuer les populations de ces insectes, responsable du paludisme, encore la cause de mortalité la plus importante du pays.

Ce cas est loin d’être une premièreh2

Au Brésil, des moustiques OGM ont plusieurs fois été lâchés pour enrayer la diffusion de certaines maladies, comme la dengue ou le virus Zika. Et le processus pourrait se populariser encore plus au fil des années, selon Jean-François Silvain, entomologiste et président de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité : « L’homme cherche à limiter l’influence des animaux dits “nuisibles”, que ce soit en modifiant leurs comportements ou en faisant décroître leurs populations. La modification génétique, de plus en plus facile à utiliser, risque de se développer. Elle est déjà en pleine expansion, et si le processus devient admis éthiquement et scientifiquement, il devrait facilement se populariser. »

« Quand on ne maîtrise pas une chose, il faut se méfier avant d’y toucher… »

« Risque », le mot est prononcé. Car il est bien sympa ce monde utopique où les moustiques sont devenus infoutus de pondre la moindre larve, où les rats ne transmettent plus la moindre maladie et où les tiques nous font des bisous plutôt que des morsures, mais cela ne serait pas un peu dangereux tout ce bazar ?

Difficile à dire, ce qui est déjà en soi un problème pour Henri-Pierre Aberlenc, entomologiste et spécialiste des insectes : « On est encore au balbutiement de la génétique et on délivre déjà des animaux modifiés dans la nature ! On ne sait aucunement les conséquences que cela pourrait avoir. Des études attestent que les gènes modifiés des plantes OGM se répandent ensuite dans toute la chaîne du vivant. Comment contrôler ? »

Assumant être contre le procédé de modification génétique sur les animaux, le spécialiste des insectes prend la peine d’étayer son point de vue : « On sait comment modifier la génétique, mais on ne sait pas encore tout de son fonctionnement.

Du coup, on touche à des choses qu’on ne maîtrise même pas, en prenant le risque d’impacter non seulement l’espèce mais également tout l’écosystème alentour et sans pouvoir prédire le danger.

Je rappelle que tous les premiers atomistes sont morts des suites de l’exposition aux radiations. Quand on ne maîtrise pas une chose, il faut se méfier avant d’y toucher… »

Une efficacité loin d’être démontrée

Au-delà des risques, le procédé en lui-même n’est pas certain de faire des preuves : après les moustiques brésiliens, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) avait admis ne pas pouvoir tirer de conclusions claires sur l’efficacité ou non d’une telle initiative. Jean-François Silvain atteste : « Parfois, les espèces développent des résistances, ou quand on chasse un nuisible, une autre espèce la remplace et apporte les mêmes problématiques pour l’humain. On ne sait pas non plus comment réagira l’écosystème à une disparition d’une espèce, qui peut-être nuisible pour l’homme mais essentiel pour la chaîne du vivant locale. »

Pour le chercheur, plutôt que modifier la génétique des moustiques ou autre, l’homme devrait surtout changer son état d’esprit à lui ( c’est beau, on sait ) : « Il faut sortir du paradigme voulant que, pour un problème ponctuel, aussi grave peut-il être comme c’est le cas pour le paludisme, on bouleverse une espèce voire un écosystème entier. Cette pratique est dangereuse et fait peser une réelle menace sur la biodiversité. »

Car ensuite, où serait la limite questionne Henri-Pierre Aberlenc : « On modifie déjà le génome de certains mammifères, combien de temps avant que l’on fasse de même pour les humains ? La génétique ouvre la porte à tous les possibles, et tous ne sont pas souhaitables. L’homme ne cesse d’enfoncer un peu plus le doigt dans l’engrenage. Tâchons de ne pas trop jouer aux apprentis sorciers. »





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Des scientifiques créent des mouches capables de procréer sans fécondation en les modifiant génétiquement

Une nouvelle déconcertante. Dans une étude publiée ce vendredi, des chercheurs ont annoncé avoir créé des mouches capables de se reproduire par parthénogenèse, c’est-à-dire sans accouplement ni fécondation, en les modifiant génétiquement.

La parthénogenèse existe déjà à l’état naturel chez certains animaux. Si ce mode de reproduction est absolument impossible chez les mammifères - et par extension chez les humains –, il est par exemple observé chez des oiseaux ou des reptiles ( le dragon de Komodo par exemple ). Mais le caractère inédit de cette étude vient du fait qu’il s’agit de la première fois que des scientifiques parviennent à rendre la parthénogenèse possible par une manipulation génétique, selon cette étude publiée dans la revue Current Biology.

Un mélange de deux variétés de mouches

Les chercheurs, emmenés par la biologiste britannique Alexis Sperling de l’université de Cambridge (Grande-Bretagne), ont d’abord séquencé le génome de deux variétés différentes de mouches de la même espèce : Drosophila mercatorum.

La première de ces variétés se reproduit sans fécondation, contrairement à la seconde. En établissant les différences de génome entre les deux, cette étape a permis de formuler des hypothèses sur les gènes impliqués dans la parthénogenèse. À partir de ces hypothèses, les chercheurs ont modifié les gènes d’une autre espèce de mouche, Drosophila melanogaster, qui, elle, se reproduit exclusivement par un accouplement entre un mâle et une femelle.

Ce travail de longue haleine - six ans et 220.000 mouches - a abouti à créer des mouches Drosophila melanogaster qui peuvent se reproduire par parthénogenèse. Cette caractéristique était toutefois loin d’être mise en œuvre par toutes les mouches génétiquement modifiées : en présence d’un mâle, les femelles se tournent systématiquement vers un accouplement classique.

Les « bébés » nés par parthénogénèse sont de sexe féminin

Quant à celles qui n’ont jamais été confrontées à l’autre sexe, seules 1 % à 2 % finissent par se reproduire sans fécondation. Le processus intervient quand elles sont âgées d’une quarantaine de jours, soit environ la moitié de leur vie.

Et cette aptitude - logiquement réservée aux femelles - se transmet à travers les générations : les descendantes nées par parthénogenèse ont, parfois, été également capable de se reproduire sans partenaire. À noter que tous les « bébés » nés par parthénogénèse sont de sexe féminin, chez les mouches, comme chez les autres animaux.( Chez les humains aussi ? Ces "cons-là" ont du essayer ! )



« Il s'agit de documents qui sont juxtaposés.' »


Vous prenez ou pas, ce n'est pas mon problème !

Mon problème est plutôt de savoir
à qui
et à quoi ça peut servir ?

Soit : À qui va profiter le crime ?

Regardez, ! Mais, regardez bien la suite, ceci est cousu de fil blanc ! et passez faire vos commentaires sur le forum.

Bonne lecture !